Le Château Vauclerc à La Rochelle (disparu)
Le château Vauclair, ou château Vauclerc (1185) , était le nom du château construit par Henri II d'Angleterre, époux d'Aliénor d'Aquitaine,
vers la fin du XIIe siècle, et aujourd'hui détruit. Il était situé sur l'emplacement de l'actuel place de Verdun. Il défendait le port primitif de La Rochelle. Il a représenté, l'appartenance à la couronne d'Angleterre et la main mise du Roi sur la ville. Aujourd'hui, il ne subsiste que des vestiges dévoilés lors de la construction du parking souterrain et qui ont été mises en valeur.
Cliquer dans les photos pour les agrandir.
Photo du milieu : ancien emplacement du port de La Rochelle au Moyen-âge).
Le bastion du Gabut à La Rochelle (disparu)
-anciennes fortifications autour de La Rochelle-
photo - ll s’agit d’un tirage albuminé du bastion du Gabut avec sa redoute et ses remparts du photographe Charles Basset vers 1850/1858, sur la droite en arrière-plan l’entrée du bastion Saint-Nicolas (disparu) et sur la gauche l’église Saint-Nicolas (disparue, transformée).
La porte Mallevault à La Rochelle (disparue)
La puissante enceinte (fortifications) qui enclosait la ville au XIIIè siècle était percée d’un grand nombre de portes (ce qui faisait de La Rochelle une ville magnifique). La plus ancienne, sous Guillaume X, en 1240, est la porte Mallevault ou « porte du gros Seing » ou « porte Mauléon » et était située à l’intersection de la rue des Cloutiers et de la rue Gambetta, donnant sur la place du marché.
La fontaine royale place de Verdun à La Rochelle (disparue)
Fontaine construite en 1650, sur la place du Château aujourd'hui place d'Armes ou de Verdun, sous l'épiscopat de Mrg Raoul de la Guibourgère, premier évêque de La Rochelle, et le gouvernement du comte du Daugnon, en mémoire de la reddition de 1628 dont l'histoire était gravée sur des plaques de cuivre qui furent volées en 1716 ; le frontispice portait une inscription et une croix de bronze la surmontait. La fontaine a disparu en 1845.
Bravo Oléron la lumineuse !
Michel Parent, maire du Château-d’Oléron et président de la Communauté de communes, se réjouit comme nous de cette nouvelle victoire face au géant Airbnb :
« Elle couronne plus de cinq ans de démarches, d’abord amiables, puis judiciaires, auprès de la société Airbnb qui ne daignait même pas nous répondre lors de nos premières tentatives.
L’histoire retiendra qu’une petite île de l’Atlantique a fait plier le géant américain du tourisme numérique. Un symbole fort et je l’espère, un exemple pour d’autres ! »
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note : Vous pouvez réserver directement par téléphone dans les hôtels, chambres d'hôtes, gîtes... sans passer par des plateformes à la con ; c'est ce que l'on fait lorsqu'on part en vacances.
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La tour de Broue (17)
La tour de Broue est l'un des derniers vestiges d'un ancien château fort du XIe siècle établi sur la colline du Puy, un puissant promontoire, dominant l'ancien golfe de Saintonge sur le territoire de la commune française de Saint-Sornin dans le département de la Charente-Maritime, en région Nouvelle-Aquitaine.
Le donjon quadrangulaire de 25 mètres de haut est inscrit à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques depuis 1925, et doit sa sauvegarde à l'« association des amis de Saint-Sornin », qui finança en partie une campagne de consolidation entre 1993 et 1997. L'ensemble des vestiges ont été inscrits par arrêté du 12 avril 2024.
Les ruines du donjon roman, bâti sur une colline haute de 27 mètres dominant l'ancien golfe de Brouage, sont tout ce qui subsiste d'un puissant château fort dont les origines remontent au 11ème siècle. À cette époque, les marais ne s'étaient pas encore formés, et l'océan battait les remparts de cet important édifice défensif. Broue formait alors un port maritime, une paroisse et une châtellenie, dont l'enrichissement était dû au commerce du sel.
fouilles :
Le site castral de Broue est connu aujourd’hui par sa tour qui domine le marais de Brouage. Un véritable panorama qui permet de comprendre l’organisation primitive de cette vaste étendue d’anciens marais salants, à l’origine de la richesse de cette région littorale. C’est certainement cette raison qui a poussé le pouvoir comtal à installer, au milieu du XIe siècle, une forteresse qui avait pour vocation première de contrôler ce territoire en devenir au cours du Moyen-Âge.
Des fouilles archéologiques menées depuis 2015 ont permis de comprendre l’organisation de ce complexe castral. Tout d’abord des campagnes de sondages ont évalué le potentiel de cette extrémité de promontoire et de fixer une fourchette chronologique allant du XIe siècle au début du XVIe siècle. Ensuite, une grande fenêtre, ouverte en 2019, s’est intéressée à ce que l’on considère aujourd’hui comme la haute cour du site. Elle est constituée de bâtiments imposants comme un logis et une chapelle dont la fouille a permis de comprendre le quotidien du site castral dans un milieu très spécifique où se mêlent la terre et la mer, ce qui en fait un terrain d’étude original.
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