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Audiard - encore et toujours

Publié le par Eliane Roi

Vous n'avez pas connu la Rue du Chabanais : soixante chambres !... Et ils ont filé tout ça aux Petites Soeurs des pauvres...

Bernard Blier - le cave se rebiffe.

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Publié le par Eliane Roi

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L'atelier mercerie ancienne

Publié le par Eliane Roi

L'atelier mercerie ancienne
L'atelier mercerie ancienne
L'atelier mercerie ancienne
L'atelier mercerie ancienne
L'atelier mercerie ancienne
L'atelier mercerie ancienne
L'atelier mercerie ancienne
L'atelier mercerie ancienne
L'atelier mercerie ancienne
L'atelier mercerie ancienne
L'atelier mercerie ancienne
L'atelier mercerie ancienne
L'atelier mercerie ancienne
L'atelier mercerie ancienne
L'atelier mercerie ancienne

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Marcel couche avec la voisine

Publié le par Eliane Roi

Marcel couche avec la voisine

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Un crocodile sur ma voiture hier

Publié le par Eliane Roi

Sur le parking du supermarché :

La nature reprend ses droits...
La nature reprend ses droits...

La nature reprend ses droits...

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Pourquoi il ne faut pas mettre vos enfants à l'école le 11 mai :

Publié le par Eliane Roi

L'article est un peu long, mais il est extraordinaire. Le témoignage de cette institutrice de maternelle ouvre les yeux de ceux qui pensent que les enfants peuvent se retrouver en classe, sans récré, sans cantine, sans garderie le 11 mai, avec tous les risques que ça comporte :

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Mon dessin du 29 avril 2020

Publié le par Eliane Roi

Mon dessin du 29 avril 2020
Mon dessin du 29 avril 2020
Mon dessin du 29 avril 2020
Mon dessin du 29 avril 2020
Mon dessin du 29 avril 2020
Mon dessin du 29 avril 2020

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Déconfiner le 11 mai ?

Publié le par Eliane Roi

      Le déconfinement le 11 mai.......… une inconnue pour les hôpitaux______

Le virus continuera de circuler malgré le déconfinement, et l’exemple outre-Rhin n’est pas fait pour rassurer : alors que les Allemands recommencent à sortir, les hôpitaux constatent un rebond du nombre de cas. Tous les professionnels de santé le savent pourtant, le déconfinement est inéluctable. Tous espèrent que « ça va bien se passer », conscients que « ça va forcément remonter un peu »… les hôpitaux et leurs personnels pourront-ils faire face ?

C’est à l’Etat  de distribuer gratuitement masques et gels. Sans concertation, sans avoir su écouter les mises en garde du Conseil scientifique,  le gouvernement décide de déconfiner le 11 mai avant même que les tests soient appliqués de façon massive au plus grand nombre. Et surtout aux enfants. Tout est mis en œuvre pour que les gens retournent au travail. A quel risque ?

Encore trop de questions sans réponses concrètes pour garantir la santé des citoyens !
Le Premier ministre vient de présenter le plan de déconfinement du pays, en vue d’une reprise de l’activité économique et de la vie sociale le 11 mai.

 À l’écoute de ce discours, de nombreuses questions essentielles demeurent ou sont encore plus floues. Le gouvernement renvoie beaucoup de responsabilités aux collectivités territoriales, aux personnels de l’éducation nationale et de la petite enfance mais également aux citoyens. On demande ainsi aux parents de décider eux-mêmes s’ils doivent envoyer ou non leurs enfants à l’école avec ce dilemme :
la santé des enfants ou la pression des employeurs pour reprendre le boulot.
Non, l’école n’est pas une garderie pour permettre aux parents de retourner au travail !
Ces annonces vont accroître les inégalités territoriales et sociales en renvoyant, par exemple, les responsabilités de protection – comme le port du masque – à ceux qui auront les moyens de se les payer ou de se le fabriquer.

Nous sommes loin des valeurs d’égalité de notre République. La santé des citoyens, n’est-ce pas de la responsabilité de l’État ?
La reprise économique reste la priorité du gouvernement, ce qui laisse beaucoup de libertés aux entreprises, sans réelles garanties sanitaires ou de droits pour ceux qui travaillent. La référence aux guides de bonnes pratiques mises en oeuvre dans les branches est proprement déplacée. Par contre, aucun mot pour remettre en cause les ordonnances prévoyant l’augmentation du temps de travail ou le vol des congés payés et des repos.
En matière de transport collectif, le Premier ministre nous conseille de ne pas les prendre pour
« se balader ».
À croire qu’il ne prend jamais les transports aux heures de pointe, en Île-de-France comme ailleurs, car la plupart de ceux qui les fréquentent à ces heures-là se rendent au travail. Dans ces conditions, qui décidera de ceux qui doivent les prendre en priorité ?
Nous attendons de vraies mesures de protection sociale pour les salariés, pour ceux qui sont le plus frappés par cette crise.
Les récentes annonces d’une progression massive du nombre de demandeurs d’emplois (+7,5%) montrent la nécessité de renforcer les droits des privés d’emplois notamment des plus jeunes complètement démunis de ressources.
Il y a besoin de prolonger et de renforcer le chômage partiel pour que la pression de la fin du mois ne soit pas la contrainte de la reprise du travail.
Nous comprenons les attentes des citoyens de retrouver une « vie normale » parce que le confinement pèse sur toutes et tous, parce que beaucoup des plus de 10 millions de salariés en chômage partiel subissent des pertes de salaire qui compliquent encore plus leur vie quotidienne.
Nous comprenons la conscience professionnelle des personnels de l’éducation de ne pas laisser tomber leurs élèves mais qui restent sans réponse réelle et nous saluons l’engagement sans faille des personnels de santé, du médico-social et de l’aide à domicile.

Les maires ne doivent pas être tenus responsables de la situation en cas de problèmes sanitaires dans la période actuelle.

 

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Mon dessin du 28 avril 2020

Publié le par Eliane Roi

Mon dessin du 28 avril 2020

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Rien n'est inéluctable

Publié le par Eliane Roi


COMMUNIQUÉ DE PRESSE


41 milliards de déficit annoncé mais surtout une confirmation du rôle irremplaçable de
la Sécurité sociale
Le ministre du Budget et des comptes publics, Gérald Darmanin, a annoncé, hier, devant la Commission des
affaires sociales du Sénat, que le déficit de la Sécurité sociale (y compris le Fonds de solidarité vieillesse qui
prend en charge les cotisations sociales des chômeurs) atteindrait 41 milliards d’euros, en 2020.
Ce déficit serait, certes, s’il était confirmé à la fin de l’année, le plus important qu’ait connu la Sécurité sociale
depuis sa création en 1946 et certains commentateurs soulignent, dès aujourd’hui, son caractère « abyssal ».


Il faut, néanmoins, prendre la juste mesure de la situation.


D’après les prévisions gouvernementales, ce déficit s’expliquerait, à hauteur de 8 milliards d’euros, par une
hausse des dépenses d’assurance maladie liées à la crise sanitaire notamment dans les hôpitaux à l’achat
d’équipements médicaux mais, pour les ¾, à une baisse des ressources de la Sécurité sociale (développement
massif du chômage partiel qui conduit à une baisse considérable des cotisations sociales) ; diminution des
recettes de la CSG et de la TVA qui concoure, maintenant, fortement au financement de la Sécurité sociale.


Le gouvernement estime que la baisse de la masse salariale sur laquelle est assis le financement de la Sécurité
sociale baisserait de 7,5%, en 2020, correspondant à une baisse de l’emploi de 2,7% et une baisse du salaire
moyen soumis à cotisations sociales de 4,9%. Ce scénario pessimiste n’a rien d’inéluctable.


Aussi spectaculaires que soient ces chiffres, il convient d’en apprécier la portée. Il faut d’abord les rapporter aux
richesses créées : aussi spectaculaires qu’ils paraissent, 41 milliards d’euros représentent 1,7% du PIB. C’est
aussi la moitié des exonérations des 80 milliards d’euros de cotisations sociales dont ont bénéficié les
entreprises en 2019 et moins que les dividendes versés par les entreprises du CAC 40 l’année dernière.


En fait, ce déficit résulte surtout du fait que la Sécurité sociale a joué, une nouvelle fois, son rôle
irremplaçable d’amortisseur social en période de crise.


Même si le gouvernement a réagi avec retard, il a su dégager les ressources pour faire face à la crise sanitaire
et il a évité que la crise ne se traduire par une explosion des licenciements. La comparaison avec les États-Unis
où des centaines de milliers de salariés ont été jetés du jour au lendemain à la rue et font la queue devant les
« soupes populaires » montre l’importance d’une Sécurité sociale solidaire comme la nôtre.


Il est parfaitement possible de sortir par le haut de cette crise mais cela suppose de rompre avec les politiques
qui ont été menées depuis des années, en répondant aux revendications des salariés, notamment dans la santé,
par de véritables augmentations de salaires (et non par des primes « défiscalisées et désocialisées » c’est-à-dire
exonérées de cotisations sociales, contribuant à fragiliser le financement de la Sécurité sociale) et en
redonnant toute leur place aux services publics au lieu d’en faire, comme nous l’avons connu depuis 10 ans, la
variable d’ajustement du retour à l’équilibre des comptes publics et sociaux, avec toutes les conséquences que
chacun peut observer dans la crise actuelle.

 

Si nous imposons ces alternatives, si nous redonnons le pouvoir
aux salariés, nous empêcherons la récession majeure que nous prédit le gouvernement.

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