Ce matin, pendant le petit-déjeuner, nous avons regardé -comme chaque matin- les titres du journal télévisé (après on éteint, ils nous les brisent).

Nous avons donc appris comme tout le monde la fermeture des restaurants, entre autre, en raison des mesures sanitaires.

Dans la minute qui a suivi, il y a eu une pub "Retournons au restaurant".

Quand on vous dit que la télé et ses invités sur les plateaux racontent n'importe quoi et tout et son contraire !

       On nous prend vraiment pour des cons, comme disait Coluche !

J'espère que quelqu'un écrira un jour tout ce qui s'est dit et écrit à propos du coronabidule et à qui il va profiter, une fois de plus, en matière d'inégalités et d'injustices......................

On vit une époque formidable !

pour toute la magie que tu laisses à jamais et bien au-delà de St Germain des Prés.

Preston Tucker naît en 1903 dans une ferme  dans le Michigan. Il grandit dans la banlieue de Lincoln Park, près de Detroit. Il est élevé par sa mère, une enseignante, après que son père est décédé d'une appendicite alors que Preston n'avait que deux ans. Ayant commencé à apprendre à conduire à onze ans, Tucker est obsédé par les automobiles dès son plus jeune âge. À l'âge de seize ans, il commence à acheter des modèles récents, les répare voire les rénove et les revend à profit.

Il fréquente la Cass Technical High School (en) à Detroit, mais il abandonne l'école et obtient un emploi de garçon de bureau pour la Cadillac Motor Company, où il utilise des patins à roulettes pour effectuer ses tournées plus efficacement. En 1922, le jeune Tucker rejoint le département de police de Lincoln Park (Michigan) (malgré les réticences de sa mère). Son intérêt est attisé par son désir de conduire des voitures et des motos de police rapides et performantes. Sa mère le fait retirer des forces de police, signalant aux fonctionnaires qu'à dix-neuf ans, il n'a pas l'âge minimum requis par le ministère.

Il se marie à vingt ans, en 1923. Lui et sa nouvelle épouse, Vera, prennent ensemble un bail de six mois pour une station-service près de Lincoln Park. Vera gère la station pendant la journée, pendant que Preston travaille sur la chaîne de montage de la Ford Motor Company. Au cours des deux derniers mois à la station-service, il commence à vendre des voitures Studebaker.

Le bail expiré, il quitte Ford et retourne dans la police. Lors de son premier hiver au sein des forces de l'ordre, il est interdit de conduite pour avoir utilisé un chalumeau pour percer un trou dans le tableau de bord d’un véhicule afin de permettre à la chaleur du moteur de réchauffer la cabine.
Il rencontre un vendeur d’automobiles, Michael Dulian, qui deviendra plus tard directeur des ventes de « Tucker Car Corporation ». Dulian embauche Tucker en tant que vendeur de voitures chez son concessionnaire de Detroit. Il réussit très bien, mais le concessionnaire est loin de son domicile à Lincoln Park. Tucker démissionne donc et retourne dans la police pour la dernière fois.
Quelques mois plus tard, Dulian, toujours impressionné par le succès immédiat de Tucker en tant que vendeur, l'invite à déménager avec lui à Memphis (Tennessee) pour y occuper un poste de directeur des ventes. Dulian est transféré quelques années plus tard, mais Tucker reste à Memphis et est représentant chez Ivor Schmidt (Stutz) et John T. Fisher Motor Company (Chrysler), où il devient directeur général des ventes. Tout en gérant les ventes de Chrysler à Memphis, il établit une connexion avec Pierce-Arrow.
En 1933, il s'installe à Buffalo (New York), et devient directeur régional des ventes pour les automobiles Pierce-Arrow. Deux ans plus tard, il retourne à Détroit et travaille comme vendeur Dodge pour Cass Motors.

Les courses automobiles et les 500 miles d'Indianapolis (1932-1939)

Au début des années 1930, Preston Tucker entreprend une randonnée annuelle d'un mois sur l'Indianapolis Motor Speedway. Intéressé par les voitures de course et leurs concepteurs, il y rencontre Harry Miller, fabricant ayant le plus de moteurs vainqueurs aux 500 miles d'Indianapolis que tout autre au cours de cette période.
photo indianapolis .
Il déménage à Indianapolis pour être au plus près du lieu de développement des voitures de course. Il travaille en tant que gestionnaire des transports pour un distributeur de bière, supervisant le parc de camions de livraison pour la compagnie.

Meilleur ingénieur que commerçant, Miller se déclare en faillite en 1933 et est à la recherche de nouvelles possibilités. Tucker persuade Miller de le rejoindre dans la construction de voitures de course. Ensemble, ils fondent « Miller and Tucker, Inc. » en 1935. Leur première tâche d'ambition est de modifier dix moteurs V8 pour Henry Ford, car ils veulent convaincre Edsel Ford, puis son père Henry, de construire une voiture de course dérivée des Ford V8 de série, pour l’édition 1935 d'Indianapolis. Cependant, le temps nécessaire pour développer et tester les voitures est insuffisant. Les boîtes de direction de tous les participants surchauffent et se bloquent, les obligeant à quitter la course. La conception a été perfectionnée par la suite, avec des exemples présentés à Indy jusqu'en 1948.
Miller et Tucker, Inc. poursuivent le développement de voitures de course et diverses autres entreprises jusqu'à la mort de Miller en 1943. Tucker était un ami intime de Miller et a même aidé la veuve de Miller à payer les frais funéraires de son mari.
Tout en travaillant avec Miller, Tucker rencontre les frères Chevrolet et le mécanicien et ingénieur en chef, John Eddie Offutt, qui l'aidera plus tard à développer et à construire le premier prototype de la Tucker '48. La personnalité extravertie de Tucker et son implication à Indianapolis le font connaître dans l'industrie automobile dès 1939.

En 1939, il retourne avec sa famille dans le Michigan et achète une propriété à Ypsilanti. Il y rénove une vieille grange dans laquelle il ouvre et exploite un atelier de fabrication de machines Ypsilanti Machine and Tool Company, dans le but de développer divers produits automobiles.
Construction d'automobiles

En 1944, il lance une audacieuse campagne de financement pour construire une berline très innovante, la Tucker '48. Il réussit à louer l'usine de moteurs d'avions Dodge-Chicago, fermée depuis la fin de la guerre, mais il n'y produit qu'une cinquantaine d'exemplaires.
 

En 1949, la commission de surveillance de la bourse (SEC) met Preston Tucker en accusation, car beaucoup des promesses techniques sophistiquées de sa Tucker '48 ne sont pas tenues. De son côté, Preston Tucker accuse les « trois grands » de l'automobile (General Motors, Ford et Chrysler) de chercher à le couler.
Il est finalement innocenté, mais les difficultés financières placent sa société en liquidation. Quant au futur coupé Tucker Talisman, il ne dépassa jamais le stade de la table à dessin.

La Tucker ‘48 est une voiture concept-car du constructeur automobile américain Tucker Car Corporation. Baptisée « la voiture du futur des années 1940 » elle est produite à 51 exemplaires entre 1947 et 1949.

Preston Tucker meurt d'un cancer le lendemain de Noël 1956.

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Le 21 septembre (2020), arté nous a enchantés avec ce très beau film de 1988  "l'Homme et son rêve", de Francis Ford Coppola  relatant une partie de la vie de Preston Tucker. La reconstitution des voitures, vêtements, ambiance de l'époque des années 40 était sublime.  Un film à revoir.    

photos du film

Camarade du Chantier Naval de La Rochelle, cyclo avec ses amis sur les routes de Charente-Maritime, Marcel Le Pennec figure au nombre des morts tués à Périgny (17), fauché sur son vélo par une remorque le 15 septembre 2020.

Marcel Le Pennec est décédé sur le coup suite à cet accident qui a tué également un de ses collègues et en a blessé 3 autres alors qu’ils revenaient d’une randonnée à vélo, son sport favori, et qu’ils roulaient sur une seule file.  Ils ont été fauchés par une remorque contenant un chargement de bois à Périgny. Un des 3 est encore hospitalisé dans un état très grave. Marcel avait passé un quart de siècle au chantier naval avant, d’être « remercié » comme les 1000 autres salariés en juin 1987. Il a travaillé ensuite dans une petite structure avant de pouvoir bénéficier de la retraite amiante. Il a aussitôt rejoint la Section des Retraités CGT de la SNACRP, avec son épouse Maryse, et c’est fidèle parmi les fidèles, qu’ils assistaient aux réunions mensuelles à Laleu.  Egalement assidu au pliage du Lien depuis des années, Marcel a représenté la section syndicale dans les différents congrès et était toujours prêt à donner un coup de main. Lui et Maryse n’ont certainement pas manqué beaucoup de manifestations, aussi bien au niveau local, que celles se déroulant à Paris, Poitiers où ailleurs. Très politiquement informé, il prenait souvent la parole dans les réunions mensuelles. Marcel et Maryse sont des camarades charmants. Nous regrettons déjà la disparition de Marcel et présentons à Maryse, à son fils et à toute sa famille nos sincères condoléances. Un hommage lui sera rendu le vendredi 25 septembre à 14h30 au crématorium de Mireuil à La Rochelle.

J'ai fait des captures d'écran du passage des coureurs dans notre département -puisqu'on ne peut pas télécharger les photos- . Elles émanent de France Bleu, France 3 Régions, la Charente Libre, la Voix du Nord,  La Voix du Cheminot, Sud-Ouest et je dois en oublier..............................

Et un tournage de plus pour Capitaine Marleau, un ! Tourné à Royan à partir du 7 septembre par Josée Dayan, le prochain épisode de la série phare de France 3 accueillera du beau monde : Beatrice Dalle, Arnaud Ducret, Mathieu Madénian, Caroline Proust ou encore, Astrid Berges Frisbey.

Notre actrice préférée, toujours prêtre à défendre les intermittents du spectacle et à se battre pour des causes justes non sans oublier de nous faire rire à chaque scènes de la série est de retour, pour notre plus grand plaisir.

Diffusion en 2021.