6 Novembre 2019
6 novembre 2019
Nous ne sommes pas parvenus à maîtriser Marcel (malgré la bonne condition physique de Robic) ; il a roulé quatre heures durant sans s’arrêter, puis a décidé finalement de faire un barbecue, près d’un village qui était jusque-là tranquille.
Puis la route a défilé, défilé, comme dirait Florence Parly un 14 juillet sur les Champs Elysées. Marcel, pris subitement d’une envie de s’amuser un peu, s’est arrêté dans une fête de village, près d'Aix-en-Provence ; il a voulu s’initier au pilotage d’un tracteur, mais cela ne fût pas très concluant. Manou a refusé de donner son adresse, ayant une confiance limitée envers Marcel.
Farfadet (du Poitou), qui avait l'intention aimable de lui prêter sa voiture ancienne, a changé d'avis et a demandé à ses voisins de protéger le véhicule dans un garage blindé.
Pour se faire pardonner, Marcel a proposé sa participation à la reconstitution de l’histoire du village. Céjipé et Bigmous ont refusé de s’y associer, on comprend pourquoi.
Zézette la niçoise s’est fait draguer par le dresseur de lions.
On lui a recommandé de ne pas le présenter à Marcel…….............................................................................……….. Justin Pticou a tenté sa chance auprès de la voyante qui a deviné ses intentions. La femme à barbe n’est plus une attraction appréciée, ils vont faire venir la femme à Marcel. Nell et Maryline fort mécontentes des agissements de Marcel, sont parties manger des barbes à papa pendant que Claude et Marie se tripotaient derrière les auto-tamponneuses. Marie a essayé d'attraper la queue du Mickey mais n'ayant pas réussi, elle s'entraîne sur Claude. Karak a commencé à dessiner le car et nos aventures mouvementées, il pourra les raconter à ses petits-enfants si Claude et Marie ne font pas trop de cochonneries... Céjipé et Sarah ont cherché Marcel pendant des heures, puis l’ont finalement trouvé dans un manège appelé « le mur de la mort », dans une automobile à fond la caisse (le car ne lui suffisait pas !).
Nous sommes tous repartis en courant vers l’autocar lorsque Marcel a éraflé le bolide au fond du manège.
Il nous en fait voir de toutes les couleurs et on se demande jusqu’où cela nous entraînera.
La suite après-demain, il nous faut nous remettre de nos émotions……………